Dans son article "Protestations et revendications féminines... "Madeleine Lazard nous parle des femmes écrivains de la Renaissance et leur "feminisme littéraire et limité", mais nouveau et courageux tout de meme, pour l'époque . Quelles sont certaines de leurs revendications et espérances qui vous semblent importantes ou tout simplement normales ?
Naima Ouhamou
RépondreSupprimerClémence de Bourges nous a donné un coup d’œil sur les femmes écrivains de la Renaissance. Le mouvement féminisme a été seulement au niveau culturel, mais pas au niveau des droits de la citoyenneté. Par contre, pour cette époque, c’est une étape courageuse. Le rôle de la femme hors du foyer a été limité, puisque seulement les femmes bourgeoises ou princesses ont eu le privilège de se rebeller et d’accéder à l’apprentissage. Par exemple, Marie Dentier, est une intellectuelle qui connait la théologie, la Bible et le droit. Les femmes au XVI siècle, ont eu l’obligation ménagère avant l’obligation intellectuels. Les femmes qui ont eu la chance d’accéder à la culture, cherchent le bonheur et l’amour en écrivant des histoires et des aventures amoureuses, car la plupart de ces femmes souffrent dans le mariage. Elles pensent que l’accès à la culture a été seulement une étape pour obtenir d’autres droits pareils aux hommes. La femme a le droit de développer sa personnalité, mais pour exercer ce droit, une femme doit respecter l’institution du mariage. Le vrai féminisme est de savoir comment rester femme en même temps que participer dans la vie intellectuelle et politique. Le but n’est pas de chercher à avoir le pouvoir de l’homme, mais partager ce pouvoir avec lui dans la société. La femme à un autre rôle, c’est d’être une femme pour son mari et intellectuelle pour elle-même et pour satisfaire ses ambitions. Je pense que grâce à ces femmes du XVI siècle, la femme d’aujourd’hui a la chance de participer à la politique.
Bien que pendant la renaissance, on attende toujours à ce que des femmes aient été approprié (la femme idéale), le début d'humanisme dans la Renaissance a presenté des femmes privilégiées avec de grandes occasions pour la croissance personnelle et intellectuelle. Les rôles sexuels et sociaux encore déterminaient toujours la mesure à laquelle une femme pourrait poursuivre l'enseignement et l'accomplissement intellectuel, mais c'était possible par la composition de poésie ou la prose de temporairement compenser les hiérarchies de genre, devenir égal aux hommes en un sens. Les événements historiques et socioculturels importants comme l'invention d'empreinte, l'humanisme, etc pourvu les femmes françaises de l'aristocratie et de privelege avec des occasions d'acquérir l’opportunite pour se disputer et promouvoir des causes qu’elles étaient passionnés de, circuler leurs manuscrits parmi et entrez même dans le monde public d'empreinte. Bien sûr, on s'est attendu à ce que la plupart des femmes aient été chaste, et obéissant et dans des femmes de ménages pauvres, elles ont resté à la maison et s'occuper du ménage, mais des femmes privilégiées commençaient à obtenir la capacité de s'exprimer par la littérature. Les auteurs de femmes pendant la renaissance étaient toujours limités, c'est pourquoi Louise Labe a reçu beaucoup de critique pour "l’explicite" de son écriture, mais les femmes commençaient à non seulement avoir une voix par la littérature, mais passer aussi à travers un peu de genre précédent a influencé des normes culturelles.
RépondreSupprimerDeonca Williams
RépondreSupprimerJe trouve intéressant que le féminisme n’est pas un concept nouveau car elle a ses racines dans le XVIème siècle plus ou moins. Selon la page 859 : « la première conscience féministe de notre littérature de femmes auteurs vont devenir elles-mêmes championnes de leur cause. »
Néanmoins le féminisme de cette époque n’est pas le même concept que nous connaissons aujourd’hui. La page 859 ajoute que : « le féminisme de la Renaissance reste assurément un féminisme littéraire et limité. Il n’envisage aucunement de remettre en question les structures sociales ou le rôle de la femme hors de la vie privée. »
Aujourd’hui les femmes dans presque tous les pays ont le droit d’aller à l’école ou à l’université. Comme nous déjà savons, selon la page 860 : « L’une des plus fréquentes et des plus pressantes est celle du droit à l’étude. »
Tout au long du XVIe siècle la principale préoccupation des femmes féministes étaient le droit à une éducation et aussi le droit d'écrire. Aujourd'hui, il est un peu différent puisque la plupart des pays permettent aux femmes d'aller à l'école.
Aujourd'hui les préoccupations des femmes sont beaucoup plus diversifiés et ils comprennent telles choses comme l'avortement, le salaire égale, et le droit de faire les boulots qui sont encore dominés par les hommes comme la construction.
Dans son article, Lazard pose la question "Faut-il lire ces textes comme des temoignages de l'emancipation culturelle des femmes a la Renaissance?" Lazard demande si on peut interpreter la litterature de l'epoque comme un mouvement significant. Est-ce que la limite et tout de meme le courage "qualifie" leur ecritures comme un mouvement tout nouveau?
RépondreSupprimerEtant donne qu'il y a des classes sociaux, comment pouvons-nous interpreter la litterature?
La litterature de cette epoque nous donne un rapport aux vies des femmes et surtout les hommes aussi. C'est un representation de la vie de cette epoque et de les experiences des ecrivains. Si les femmes de la Renaissance peuvent ecrire avec plus de liberte, on peut le comprendre dans la litterature ecrit par les femmes de la Renaissance.
Lazard fait remarquer que, “Le féminisme de la Renaissance reste assurément un féminisme littéraire et limité. Il n’envisage aucunement de remettre en question les structures sociales ou le rôle de la vie privée” (859). Je suis d’accord avec l’adjectif “limité” pour Labé décrire. Ses idées du féminisme étaient très de luxe et exclusive; en outre, elle seulement considère les femmes qui ont les opportunités pour l'éducation - qui possèdent les moyens, les ressources, et le temps pour contribuer à ce concept nouveau pour eux. Comme Lazard dit, Labé m’a rappelle vraiment de la philosophe, Christine de Pizan: “Tel est le but de l’éducation féminine dans une société qui ne reconnaît d’autre rôle à la femme cultivée que celui d’un bel ornement” (861). Pizan seulement s’était fait les champions des femmes qui adhèrent aux valeurs féodales/chrétiens. Elle croit que les femmes sont égales aux hommes; encore, elles doivent participer aux comportements attendus d’elles. En plus, Lazard dit: “On ne sent chez Louise Labé aucune agressivité à l’égard de sexe masculin” (863). Aujourd’hui, les féministes [intersectionales] sont conscients des structures patriarcales et ses formes oppressives à tous ses niveaux. Ils comprennent les inégalités qu’une femme d’affaires ou une femme intellectuelle peut traverser; ils comprennent ça en plus de celui de la marginalisation plus loin vécue par les femmes de la class ouvrière ou les femmes qui n’ont pas l’opportunité d’aller à l’école sur les bases de la race, la classe, ou l’orientation sexuelle, etc. et toutes les implications et circonstances de ces choses. Mais surtout, ils veulent détruire la patriarchie.
RépondreSupprimerMina Amjadi
RépondreSupprimerAu sixième siècle les femmes ont peu de droits. Les femmes existent pour le plaisir d’homme. Les revendications de la femme féministe sont l’éducation le même que les hommes. Ses revendications étaient très radicale, parce que les femmes devaient êtres les mères et les maries et restent dans la maison. Les hommes pensaient que l’éducation pour les femmes va souiller le rôle de la femme. Les femmes comme Louise Labé utilise l’éducation pour écrire les sujets radicaux pour changer d’esprit de la société. Elles disputaient pour l’égalité et liberté pour la femme. Les femmes avec d’argent pouvait être éduquées, mais les radicales voulait que « [l’éducation] n’établi aucune distinction entre l’éducation masculin et féminine, aucune non plus entre les fins qu’elle propose, réclament l’égalité des sexes dans l’apprentissage comme dans la création » (862). Pour cette époque l’idée d’éducation égale était vraiment fou.
Pendant la époque de la renaissance il y a un nouveau mouvement de féminisme. Dans cette époque les femmes n’ont pas beaucoup de droits. Il y avait de personnes que voient les femmes seulement comme personnes qui font les corvées. Mais femmes comme Louise Labé comme avait écrit Madeleine Lazard pense que l’éducation est très importante pour atteindre égalité. Louise Labé utilise son talent pour changer comme le gens voit les femmes à côté de la littérature. « Elle n’établit aucune distinction entre l’éducation masculine et féminine, aucune non plus entre les fins qu’elle se propose, réclamant l’égalité des sexes dans l’apprentissage comme dans la création » (162). Mais un critique que je fait de Louis Labé est-ce que elle est riche et elle a recevoir un éducation, je pense que elle ne s’identifie avec les pauvres. Elle oublie que les pauvres n’ont pas accès à sa littérature.
RépondreSupprimerDans ces temps, les femmes n'ont pas de voix et quand il y a des moments qu'elles la peuvent utilisé, bien sûr, elles ne peuvent pas utilisé la voix à capacité maximum. Les femmes devraient avoir une sentiment de prudence pour maintenir "l'image"d'une femme. Une femme ne peut pas écrire tous qu'elle a dans son esprit sans l'avis contradictoires des autres étant présents. C'est important pour les femmes de parler sur l'oppression qu'elles ont experience, et faire prendre conscience de l'injustice. Aussi, les expectatives des femmes dans cet époque est que les femmes n'ont pas des talents ou rien de dire. Donc, c'est leur travaille d'enseigner exactement combien de talent nous avons ET comment nous pouvons dépasser ces expectations.
RépondreSupprimerQuand Louise Labé a dit « lors nous redouble notre aise : car nous retrouvons le plaisir passe qu’avons eu, ou en la matière dot escrivions ou en l’intelligence des sciences ou lors étions adonnes » elle parle de la liberté d’écrire. Les hommes étaient les gens qui peuvent écrire mais quand les femmes commencer a écrites ca change. Louise parle aussi de la pouvoir qu’on puisse recevoir avec l’éducation de lettres. Cette éducation donne la pouvoir des femmes d’hors de sa maison. On peut avoir maintenant une espace dans la maison et au publique. La liberté d’apprendre est très importante pour les dames parce qu’elles peuvent avoir les deux rôles dans la société. Déjà on a le rôle d’être épouse et la mère mais avec le droit d’apprendre écrire les femmes entre dans le rôle qui était pour les hommes.
RépondreSupprimerJ'aime lire l'esssai de Madeline Lazard. Elle a ecrit des chose importantes. C'est la travail des femmes comme Labe et Lazard qui nous apportons le feminisme. Lazard commence le dissertation avec le discussion de "L'aspiration de la vie intellectuelle". On ce parti, elle a defini la femme de siezieme siecle. Elles sont toutes domestique. Elles ont passe les jours avec le cuisine, le nettoye, les chose de la maison. Et, on plus, toute la monde a pense que c'est le suele place pour les femmes. Lazard tiens cette idee est elle la briser. Elle chanter a les femmes d'etre courageux. Ne hesiter pas a suivre vos reves. Etudiez vous bonnes, "s'appliquer aux sciences et disciplines que leur refusaient" (862). Alors, le plus importante note de la dissertation est d’être courageuse. N'arretez-vous pas a les regles de société, être independent car les femmes va changer la monde.
RépondreSupprimerDans l’article de Madeleine Lazard, elle parle au sujet des femmes écrivains de la Renaissance. Elle dit que ces femmes, « n’affichent rien, elles ne lancent aucune déclaration des droits de la femme et de la citoyenne » (p. 860), mais elle dit aussi que ces femmes ont utilisé la littérature pour discuter les choses qu’elles ont trouvé importants concernant les femmes comme le « droit a l’étude » (p. 860), « dans une société qui ne reconnaît d’autre rôle a la femme cultivée que celui d’un bel ornement » (p. 861). Je pense que le fait que « L’accès a la culture était reconnu de plein droit aux princesses et aux femmes de haut rang » (860) est intéressant parce qu’il y ait une division entre les femmes ainsi qu’entre les femmes et les hommes. Je pense que cet revendication est très important parce qu’il nous montre que les femmes se battaient longtemps pour ce droit que nous considèrerons comme normal aujourd’hui. Je pense que ces femmes écrivains étaient braves aussi parce qu’elles étaient les premières femmes d’oser faire cette chose, même si elles ne faisaient pas les grandes déclarations, ou elles ne protestaient contre le loi. Louise Labé, par exemple, était comme la grande féministe de cette époque quand elle a dit aux femmes de, « s’appliquer aux sciences… » (p. 862). C’était un subtil forme du féminisme, mais il a commencé la pensée que les femmes ont besoin le droit d’apprendre.
RépondreSupprimerJe pense qu'un revendication important que les femmes de la renaissance ont est le droit à l'étude. La feminisme de l'époque était "littéraire", alors c'est évident qu'il faut que les femmes sachent comment lire et ecrire et qu'elles sachent les choses culturelles pour créer les bonnes pièces de la littérature. C'est aussi très important de noter qu'on applique ce revendication aux tous les rangs sociaux.
RépondreSupprimerUne autre chose que je trouve très interressant est l'idée de la solidarité féminine. Les femmes qui écrivent ou existent dans le monde litteraire soutiennent l'une l'autre.
À mon avis, même que ces femmes de la Renaissance ne sont pas très extrême et qu'elle se concentrent sur la littérature elles étaient très importantes pour le commencement de la feminisme
Féminisme a été un concept évident depuis longtemps, et Louise Labe était l'une des personnes qui étaient courageux et intrépide pour exprimer ses croyances sur le féminisme. Clémence de Bourges explique plus sur ce sujet, et il interroge et examine l'idée de si la literrature était plus que juste une écriture. Il y avait des femmes comme Louis Labe, et puis il y avait des femmes qui sont restés à la maison, et a servi comme la femme au foyer. Ces femmes ont rarement ou jamais veulent à l'extérieur de leurs maisons, et ils ont vécu la vie qu'ils ont été donnés sans remettre en question les rôles sexuels ou sociaux que les femmes avaient à cette période. Cependant, avec des gens comme Louis Labe qui ont exprimé la raison pour laquelle ils pensaient que le féminisme est important, les écrits sont devenus plus sur l'envoi de ce message plutôt que de lire pour le plaisir ou pour passer le temps.
RépondreSupprimerPour des centaines d'années, les femmes ont jamais été considérées comme égales aux hommes. Cependant, j'aime bien le fait qu'il y avait des femmes qui ont lutté pour les mêmes privilèges que les hommes avaient. Je trouve très intéressantes les pensées et les sentiments de certaines femmes. Par exemple, Louise Labé parle de "la science est la seule qualité que la femme possède en propre... la beauté lui est enlevée par la vieillesse." Je crois fermement en cette phrase parce que ayant une vie intellectuelle est trés important. Il ne suffit pas d'étre une bonne mére ou epouse. Dans l'article, le phrase "Il est naturel pour les femmes auteurs de réclamer en même temps que le droit au savoir le droit à la création littéraire." parle beaucoup à la voix de la femme. Il est nécessaire d'être entendu alors le dois de publier est une grande chose.
RépondreSupprimerCindy Cueva
Les femmes de la Renaissance ont eu beaucoup de difficulte, et cet sa que Lazard nous montre. En cet epoque, les n'ont pas de voie mais les on beaucoup a dire. Les femmes ecrivains sont ete ignore par les hommes. Le femmes en cet epoque ne sont pas educate, et c'etait le femmes ecrivains qui leur donne une voie. Ils demande une droit qui est offrit aux hommmes, "celle de droit a l'etude". Aujourd'hui dans le monde il y a des filles qui n'ont pas ce droit. C'est une grande probleme pour la societe.
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